Luke 14; 12-14 |
"12 Then Jesus said to his host, “When you give a luncheon or dinner, do not invite your friends, your brothers or sisters, your relatives, or your rich neighbors; if you do, they may invite you back and so you will be repaid. 13 But when you give a banquet, invite the poor, the crippled, the lame, the blind,14 and you will be blessed. Although they cannot repay you, you will be repaid at the resurrection of the righteous.”
I sat down and realized that I had felt something that I had not yet heard in my life. I knew that there is more to the meaning of the word "nations" than what constantly enters our mind. It suddenly struck me that there are several "nations" all around us. It suddenly struck me that we walk around surrounded by borders of many descriptions, each one separating us from the "nationals" living on the other side.
If you think that was a deep trip, it really got to me when I realized that I know a lot of "foreign" people, as in French, Spanish, Australian, Brazilian, Guatemalan, Canadian, Filipino, Japanese and of course, Mexican. That didn't make me as happy as it normally would because it was accompanied by the consciousness that I could never in my most strenuous efforts think of such a rich list of truly poor people with whom I have an on-going relationship. Yes, that is one border that I have not yet crossed. Here I am, a child of Mary at La Salette who tells me every day to "make this known to all my people" and I walk around only inviting my friends and relatives into my life with great gusto, just like the pagans do. If I don't fix that in my life, you will have reason to cry at my funeral.
Hier, 4/11/2013, je participais au
saint sacrifice de la messe quand j’entendis la voix du Seigneur dirigée vers
moi,
12 Puis il disait à celui qui l'avait invité : "Lorsque tu donnes un déjeuner ou un dîner, ne convie ni tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni de riches voisins, de peur qu'eux aussi ne t'invitent à leur tour et qu'on ne te rende la pareille.13 Mais lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles ;14 heureux seras-tu alors de ce qu'ils n'ont pas de quoi te le rendre ! Car cela te sera rendu lors de la résurrection des justes." « Luc 12 ; 12 – 14 »
12 Puis il disait à celui qui l'avait invité : "Lorsque tu donnes un déjeuner ou un dîner, ne convie ni tes amis, ni tes frères, ni tes parents, ni de riches voisins, de peur qu'eux aussi ne t'invitent à leur tour et qu'on ne te rende la pareille.13 Mais lorsque tu donnes un festin, invite des pauvres, des estropiés, des boiteux, des aveugles ;14 heureux seras-tu alors de ce qu'ils n'ont pas de quoi te le rendre ! Car cela te sera rendu lors de la résurrection des justes." « Luc 12 ; 12 – 14 »
Je me suis assis et je me rendis
compte que j'avais ressenti quelque
chose que je n'avais pas encore entendu dans ma vie. J’ai bien vu que la parole
« nation » peut s’entendre de beaucoup plus de manières que j’ai
l’habitude de la considérer. Je me suis
dit que ce qui s’eveille normalement chez moi au son du mot « nation »
n’est pas la totalité de sa signification.
Il me frappa soudain qu'il y a plusieurs «nations» tout autour de moi .
Il m'est soudainement venue a l’idee que nous nous promenons entourés de
nombreuses frontières de plusieures descriptions , chacune nous séparant de la gent qui habite de l’autre cote.
Si vous pensez que c'était la un
voyage profond, ce qui m’a vraiment ébranlé c’etait la conscience que je connais
plusieures personnes «étrangères» , comme des français , des espagnols,
australiens , brésiliens, du Guatemala , du Canada , des Philippines ,
du Japon et bien sûr , du Mexique. Normalement, cela ne me rendrait assez
heureux, mais cette fois, ma réaction fut
accompagnée par la conscience que je ne pourrais jamais malgré mes plus grands
efforts penser d'une telle liste si riche de gens vraiment pauvres avec lesquelles
j'ai une relation habituelle . Oui, c'est une frontière que je n'ai pas encore
franchi . Me voici, enfant de Marie à La Salette qui me dit tous les jours de
le « faire savoir à tout mon peuple » et je fais mon chemin en invitant chez moi mes
amis et parents avec beaucoup d'enthousiasme , tout comme font les païens . Si
je ne répare pas ça dans ma vie , vous aurez toutes les raisons de pleurer à
mes funérailles.
Ayer, Noviembre 4, 2013, mientras que estaba participando en el santísimo sacramento de la misa oyó la voz del Senor como nunca la había tomada:
12 Jesús dijo también al que lo había invitado: «Cuando des un almuerzo o una comida, no invites a tus amigos, hermanos, parientes o vecinos ricos, porque ellos a su vez te invitarán a ti y así quedarás compensado.13 Cuando des un banquete, invita más bien a los pobres, a los inválidos, a los cojos y a los ciegos. 14 ¡Qué suerte para ti si ellos no pueden compensarte! Pues tu recompensa la recibirás en la resurrección de los justos.»
Lucas, 14; 12-14
Lucas, 14; 12-14
Me senté y
me di cuenta de que me había sentido algo que yo no había oído en mi vida. Instantáneamente sabía que hay más en el significado de la palabra "naciones" que lo
que entra constantemente en nuestra mente. De repente me di cuenta de que hay
varias "naciones" a nuestro alrededor. De repente se me ocurrió que
caminamos alrededor rodeados por fronteras de muchas descripciones, cada una
que nos separa de los vivos "nacionales " en el otro lado .
Si usted
piensa que este fue un viaje profundo, lo que realmente me golpeo cuando me di
cuenta de que yo conozco un montón de gente "extranjeros", como Franceses Españoles , Australianos, Brasileños, Guatemaltecos , Canadienses,
Filipinos, Japoneses y, por supuesto, Mexicanos Eso no me hacia tan feliz
como lo haría normalmente, ya que fue acompañado por la conciencia de que nunca
pude en mis esfuerzos más denodados pensar en una lista extensiva como esta de
personas verdaderamente pobres con quien tengo una relación continua como tal.
Sí, es una frontera que todavía no he cruzado. Aquí estoy, hijo de María de La
Salette que me dice todos los días "hágalo a conocer a todo mi pueblo"
y camino en mi vida invitando sólo a mis amigos y parientes con gran entusiasmo,
al igual que hacen los paganos . Si no arreglo esta manera de vivir en mi vida
, tendréis razón para llorar en mi funeral .
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