Babel, Genesis 11; 1 - 9 |
Lately at daily Mass, we have been listening to the
stories of our beginnings as creatures of our Loving God. The stories change but the underlying reality
never does. It repeats itself at every stage. It begins well and deteriorates from being good
and orderly to going bad and entangled.
Today (February 17, 2017 – Friday of
the sixth week in Ordinary time) we pray in the spirit of the breakdown from
linguistic unity to the disorder of linguistic diversity. The consequences for humans as portrayed in
this simple but meaningful parable are the same as appear throughout Genesis. Humans have the tendency to estrange
themselves from the universal good that God creates by trying to improve upon
it in their own particular way.
The Gospel teaching of this day
directs itself to this tendency in a very radical formula that we all know, “Whoever wishes to come after me must deny
himself, take up his cross, and follow me.
For whoever wishes to save his life will lose it, but whoever loses his
life for my sake and that of the Gospel will save it.” (Mark 8; 34 – 36) The life and teaching of Jesus, son of God
made Man mirrors the stories of the first 12 chapters of Genesis. Jesus is the counterpoint of the evil that
man introduces into the world, despite being created good.
Speaking of language though, we have
a related story from the mystery of La Salette.
There, the Beautiful Lady starts by speaking to the visionaries in a
language that they do not understand very well.
The world in which they live and which they will be sent understands it
very well. The Lady then speaks to them
in their own local tongue and brings their level of understanding to a higher level
of unity and clarity. Before separating herself
from them, she returns to the language of the broader world and finishes by
saying, “Make this known to all my people.”
Jesus did the same to his
disciples. He closed the chapter of
Genesis at the Pentecost. The Spirit
came to give a universal language to the world after Jesus has ordered his
disciples to “Go forth to all nations, baptizing them in the name of the
Father, the Son and the Holy Spirit.” (Matthew 28; 19)
Pentecote, Actes, 2 |
Dernièrement,
durant la liturgie de la Parole, nous écoutons les histoires de nos débuts en
tant que créatures du Dieu d'amour. Les
histoires changent, mais la réalité sous-jacente demeure la même. Elle se répète à chaque étape. Elle commence bien et se détériore du bon
ordre initial et s’en chemine vers le mal enchevêtré.
Aujourd'hui
(Février 17, 2017 - vendredi de la sixième semaine en temps ordinaire) nous
prions dans l'environnement de la rupture de l'unité linguistique au désordre
de la diversité linguistique. Les
conséquences pour les humains dépeints dans cette parabole simple mais
significative sont les mêmes qui apparaissent partout dans la Genèse. Les humains ont tendance à s'éloigner du bien
universel que Dieu crée tout en essayant de l'améliorer à leur manière
particulière.
L'enseignement
de l’Évangile de ce jour adresse cette tendance dans une formule très radicale
que nous connaissons tous, «Si quelqu'un
veut venir après moi qu'il se renonce à lui-même, qu'il prenne sa croix, et
qu'il me suive. Car celui qui veut
sauver sa vie la perdra, mais celui qui perdra sa vie pour moi et celle de
l'Évangile la sauvera ». (Marc 8, 34-36) La vie et l'enseignement de Jésus,
fils de Dieu fait Homme, reflète les histoires des 12 premiers chapitres de la
Genèse. Jésus est le contrepoint du mal
que l'homme introduit dans le monde, en dépit d'être bien créé.
Toutefois,
en parlant de langue, nous avons une référence liée au mystère de La
Salette. Là, la Belle Dame commence en
parlant aux visionnaires dans une langue qu'ils ne comprennent pas très
bien. Cependant, le monde dans lequel
ils vivent et où ils seront envoyés le comprend très bien. Apres un moment, la Dame leur parle dans leur
langue locale et apporte leur niveau de compréhension à un niveau plus facile
pour eux. Avant de se séparer d'eux,
elle retourne à la langue du monde au large et termine en disant :
«Faites-le savoir à tout mon peuple."
Jésus a
fait la même chose en relation de ses disciples et le reste du monde. Il a fermé le chapitre 11 de la Genèse à la
Pentecôte.
L'Esprit est venu donner un langage universel au monde après que Jésus avait ordonné ses disciples, «Allez à toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit." (Matthieu 28; 19)
L'Esprit est venu donner un langage universel au monde après que Jésus avait ordonné ses disciples, «Allez à toutes les nations, les baptisant au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit." (Matthieu 28; 19)
Últimamente
hemos estado escuchando las historias de nuestros inicios como criaturas de
nuestro amado Dios. Las historias
cambian, pero los bienes raíces subyacente siempre están los mismos. Se repite en cada etapa. Comienza bien y se deteriora de ser buena y ordenada
a ir mal y enredado.
Hoy (17 de
febrero 2017 - Viernes de la sexta semana de tiempo ordinario), roguemos en el
espíritu de la ruptura de la unidad lingüística con el trastorno de la
diversidad lingüística. Las
consecuencias para los seres humanos como retratados en esta parábola sencilla
pero significativa son los mismos que aparecen a lo largo en Génesis. Los seres humanos tienen la tendencia a
alejar a sí mismos desde el bien universal que Dios crea para tratar de mejorarlo
en su propia manera particular.
La
enseñanza del Evangelio de este día se dirige a esta tendencia en una fórmula
muy radical que todos conocemos, "El
que quiera venir en pos de mí, niéguese a sí mismo, tome su cruz, y
sígame. Porque el que quiera salvar su
vida, la perderá, pero quien pierda su vida por mí y por el Evangelio, la
salvará ". (Marcos 8, el 34 - 36) La vida y las enseñanzas de Jesús,
hijo de Dios hecho hombre reflejan las historias de los primeros 12 capítulos
del Génesis. Jesús es el contrapunto del
mal que el hombre introduce en el mundo, a pesar de estar bien creado.
Hablando
del lenguaje, sin embargo, tenemos una historia relacionada desde el misterio
de la Salette. Allí, la señora hermosa
comienza el discurso con los videntes en un idioma que no entienden muy bien. El mundo en el que viven y de la que se
enviarán lo entiende muy bien. Entonces,
después un rato, la aparición se les habla en su propia lengua local y trae su
nivel de comprensión a un nivel superior de claridad. Antes de separarse a sí misma de ellos, se
vuelve a la lengua del mundo más amplio y termina diciendo: "Dalo a
conocer a todo mi pueblo."
Jesús hizo
lo mismo a sus discípulos. Se cerró el
capítulo de Génesis en el Pentecostés.
El Espíritu vino a dar un lenguaje universal en el mundo después de que
Jesús ha ordenado a sus discípulos a "salir a todas las naciones,
bautizándolos en el nombre del Padre, del Hijo y del Espíritu Santo."
(Mateo 28; 19)
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