December 6, 2015
Making Straight Paths
(Baruch 5:1-2;
Philippians 1:4-11;
Luke 3:1-6)
Fr. Rene Butler MS
The Beautiful Lady at La Salette was made entirely of light, so bright that Mélanie and Maximin could not fix their gaze on her for more than a few seconds at a time. At the same time she wept and never stopped weeping all the time she was speaking.
We might wonder at finding these two realities together and ask ourselves which is more important, more “real.” In the readings today, there is a similar combination of contrasting images, but one is presented as replacing the other. Jerusalem is to put off the “robe of mourning” and put on the “splendor of glory.” In the Psalm, “Those who sow in tears shall reap rejoicing.”
In Our Lady of La Salette we don’t see a “before” and “after,” but the combined vision of grief and glory reminds us nevertheless of the journey that lies before us with its highs and lows and occasional detours. St. Paul writes, “The one who began a good work in you will continue to complete it.” In no way does he suggest it will be easy. In fact, when he wrote this, Paul was in prison!
Many undertakings that are arduous are also glorious. We often speak of them in terms of “agony and ecstasy.” In tears and light, Mary reminds us that the path of discipleship is demanding and rewarding at the same time.
Nothing happens automatically in the life of faith. We need always to respond to the prophetic call of John the Baptist as he echoes that of Isaiah: “Prepare the way of the Lord, make straight his paths.” In the ancient world, road repairs or new road construction could actually be part of the preparations to receive a king or high dignitary. In Advent, and in this Year of Mercy, we are invited to make a similar effort.
The reading from Baruch uses the same image, but in the opposite direction, so to speak. Instead of the people preparing the way of the Lord, it is the Lord who prepares the way for his people, filling valleys and leveling mountains, “that Israel may advance secure.”
John’s preaching paves the way for Jesus. Mary’s message at La Salette, through tears and light, also paves the way for Jesus—and for us.
Sentiers droits
(Baruch 5: 1-2;
Philippiens 1: 4-11;
Luc 3: 1-6)
Père René Butler MS
La Belle Dame à La Salette était entièrement lumière, si
brillante que Mélanie et Maximin ne pouvaient pas fixer leur regard sur elle
pour plus de quelques secondes à la fois. En même temps, elle pleurait sans
cesse tout le temps qu'elle leur parlait.
A la découverte de ces deux réalités ensemble nous
pourrions demander et, en plus, nous demander laquelle entre les deux est la
plus importante, plus «réelle». Dans les lectures d'aujourd'hui, il existe
pareillement une combinaison d'images contrastées, mais une se présente comme
une substitution pour l'autre. Jérusalem est de mettre la «robe de deuil"
a part et de se vêtir dans la «splendeur de la gloire." Dans le Psaume,
«Ceux qui sèment dans les larmes moissonnent en chantant."
Chez Notre-Dame de La Salette, nous ne voyons pas un
«avant» et un «après», mais la vision combinée de douleur et de gloire nous
rappelle néanmoins du voyage qui est devant nous avec ses hausses et ses basses
et des détours occasionnels. Saint Paul écrit: "Celui qui a commencé une bonne
œuvre en vous va continuer à la perfectionner." D'aucune manière, ne
laisse-t-il entendre que ce sera facile. En fait, quand il a écrit cela, Paul
était en prison!
Beaucoup sont les entreprises pénibles qui sont aussi
glorieuse. On parle souvent d'elles en termes de "l'agonie et
l'extase." En larmes enveloppée de lumière, Marie nous rappelle que le
sentier du disciple est exigeant et enrichissant en même temps.
Rien n'arrive automatiquement dans la vie de foi. Nous
avons toujours besoin de répondre à l'appel prophétique de Jean Baptiste comme
il fait écho à celle d'Isaïe: "Préparez la voie du Seigneur, aplanissez ses
sentiers." Dans le monde antique, la réparation des routes ou construction
de nouvelles routes pourraient effectivement faire partie des préparatifs pour
recevoir un roi ou un haut dignitaire. Pendant l'Avent, et en cette Année de la
Miséricorde, nous sommes invités à faire un effort similaire.
La lecture de Baruch utilise la même image, mais dans la
direction opposée, pour ainsi dire. Au lieu que ce soit les créatures qui
préparent la voie du Seigneur, c'est le Seigneur qui prépare la voie pour son
peuple, qui accomplit le remplissage et le nivellement des vallées et des
montagnes, "qu'Israël puisse avancer sécurisé."
La prédication de Jean ouvre la voie pour Jésus. Le
message de Marie à La Salette, à travers les larmes et la lumière, ouvre
également la voie pour Jésus et pour nous.
Traduction: Paul Dion
Enderezando los senderos
Enderezando los senderos
(Baruc 5:1-2;
Filipenses 1:4-11;
Lucas 3:1-6)
Padre Rene Butler MS
La Bella Señora en La Salette era toda de luz, tan brillante que Melania y Maximino no podían fijar su vista en ella por más de unos segundos a la vez. A su vez, ella lloraba todo el tiempo y nunca dejo de derramar lagrimas mientras hablaba..
Podríamos toparnos con estas dos realidades juntas y preguntarnos cuál es la más importante, la más “real”. En las lecturas de hoy, hay una combinación similar de imágenes que se contrastan, pero una se presenta como reemplazando a la otra. Jerusalén es la que se coloca la “ropa de luto” y se viste del “esplendor de la gloria”. En el Salmo, “aquellos que siembran entre lagrimas, cosecharan con alegría”
En Nuestra Señora de La Salette no vemos un “antes” y un “después” sino una visión que es mezcla entre pena y gloria y que nos trae a la memoria el recorrido que está para hacerse delante de nosotros con sus altos y bajos y sus ocasionales desvíos. San Pablo escribe, “Aquel que comenzó la buena obra en ustedes, la llevara a su plenitud”. De ningún modo da a entender que será fácil. De hecho cuando Pablo escribió esto, ¡estaba en prisión”
Muchos logros que son arduos también son gloriosos. A menudo hablamos de ello en términos de “agonía y éxtasis”. En lágrimas y en luz, María nos recuerda que el sendero del discipulado es exigente y satisfactorio al mismo tiempo.
Nada sucede automáticamente en el camino de la fe. Siempre tenemos que respondes al llamado profético de Juan el Bautista que se hace eco en el llamado de Isaías. “Preparen el camino del Señor, allanen los senderos” En el mundo antiguo, la reparación de las rutas o la construcción de una nueva podían ser parte de la preparación para recibir al rey o un alto dignatario. En Adviento y en este año de la Misericordia, estaos invitados a hacer un esfuerzo similar.
La lectura de Baruc usa la misma imagen, pero en un sentido opuesto, por decirlo así. En lugar del pueblo preparando el camino del Señor, es el Señor quien prepara el camino para su pueblo, rellenando los valles y nivelando las montañas “para que Israel pueda avanzar seguro”
La predicación de Juan pavimenta el camino para Jesús. El mensaje de María en La Salette, entre lagrimas y luz, también pavimenta el camino para Jesús – y para nosotros.
Traduccion: Hno Moises Rueda MS
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