These reflections are written
primarily with my own "audience" in mind, i.e., the people who attend
Mass regularly at Enfield Shrine, and the La Salette Associates. When you are
passing them on to your "audience," feel free to adapt them in any
way you consider appropriate.
All the best as you prepare for
Holy Week.
Fr. René
Fr. Rene:
This is solid thinking. I will willingly share it, as is, with the La
Salette world. I have copied Moises on
this response because I respect his translations and I want him to know that I
wish to have this reflection in Spanish.
Since he receives my blog posts, he knows what I am planning. I will also put this in the parish bulletin,
sadly, in its evaporated and condensed form.
Paul Dion
EVERYTHING IN BETWEEN
The readings are not listed today because, between the
Easter Vigil and the options for Easter Sunday, they are so many. The first
reading at the Vigil is the account of creation. The last reading on the Sunday
is St. John’s account of the discovery of the Empty Tomb.
In between we have the Sacrifice of Isaac, the Crossing of
the Red Sea, and words of hope from Isaiah, Baruch and Ezekiel, St. Paul, and
the Acts of the Apostles. The point is to give an overview of God’s dealings
with humanity, culminating in the salvation that comes in the Risen Christ.
La Salette is situated squarely within that same optic. The
salvation of her people, accomplished by her Son, lies at the very heart of
Mary’s Apparition, both in the literal sense that she bears the image of her
crucified Son over her heart, and in the figurative sense of what was lying in
(and weighing on) her heart as she spoke.
She appeared in a place of remarkable natural splendor. Here
echoes the refrain of Genesis: “God saw how good it was.”
Genesis also shows the example of Abraham’s magnificent
faith. But Mary’s people, like the descendants of Abraham, had not been always
faithful. Like the prophets, she looked on their suffering with a compassionate
eye, but could not on that account remain silent about their lack of fidelity
to the Creator and to the Savior. At the same time, within the same prophetic
tradition, she did not fail to hold out a vision of hope.
There is hope in Mary’s pleading on our behalf. There is
hope that her Son will not abandon us, that the famine will come to an end that
parents will not be left wondering whether they will have bread to give to
their children.
Still, the ultimate hope Mary brings is not the promise of a
brighter future and fruitful harvests, but of a faithful and fruitful
relationship with her Son, who is none other than the Risen Lord.
That relationship makes it possible both to bear hardships
and to accept prosperity with humility and equanimity. The Beautiful Lady’s
wish is that, when we find ourselves at either extreme, we may always find
Jesus there, and everywhere in between.
Bonne et heureuse Pâques
Note générale
Ces réflexions sont destinées principalement à mon propre
«public» que je tiens toujours à l'esprit, c’est à dire, les personnes qui
assistent régulièrement à la messe au Sanctuaire Enfield, et la communauté des laïcs
Salettins. Lorsque vous les transmettez à votre "public", n'hésitez pas de les adapter dans n'importe
quelle manière que vous considérez appropriée.
Mes Meilleurs souhaits durant cette saison que vous vous
préparez pour la Semaine Sainte.
Père René
Père René :
Merci pour la pensée solide. Je la partagerai volontiers,
tel quel, avec le monde salettin. J'ai inclus Moïse dans cette réponse parce
que je respecte ses traductions et je veux qu'il sache que je souhaite avoir
cette réflexion en espagnol. Puisqu’il reçoit des messages de mon blog, il sait
ce que je prévois. Je publierai le tout dans le bulletin de la paroisse,
malheureusement, dans sa forme évaporée et condensée.
Paul Dion
AU MILIEU DE LA GAMME
ENTRE TOUT, Y COMPRIS...
Les lectures ne
sont pas indiquées aujourd'hui parce que, à partir de la Veillée pascale et
comptant toutes les options pour le dimanche de Pâques, elles sont si nombreuses.
La première lecture lors de la veillée est le récit de la création. La dernière
lecture du dimanche est le récit de saint Jean racontant la découverte du tombeau vide.
Entre autres récits
nous avons le Sacrifice d'Isaac, la traversée de la mer Rouge, et des mots d'encouragement
d'Isaïe, Baruch et Ézéchiel, Saint-Paul et les Actes des Apôtres. Le but de l’Église
est de donner un aperçu des relations que Dieu a avec l'humanité, culminant
dans le salut éternel qui vient dans le Christ ressuscité.
La Salette est
situé en plein dans cette même optique. Le salut de son peuple, accompli par
son Fils, se trouve au cœur même de l’Apparition de Marie, à la fois dans le
sens littéral qui est l'image de son Fils crucifié qu’elle porte sur son cœur,
et dans un sens figuratif de ce qui était couché dans (et pesant sur) son cœur
comme elle parlait.
Elle est apparue
dans un lieu de splendeur naturelle remarquable. Voici le refrain qui fait écho
de la Genèse: «Dieu vit que cela était bon."
La Genèse montre
également l'exemple de la magnifique foi d'Abraham. Mais le peuple de Marie,
comme les descendants d'Abraham, n’avaient pas toujours été fidèles. Comme les
prophètes, elle tenait un œil compatissant sur leur souffrance, mais malgré
cette compassion elle ne pouvait pas garder le silence au sujet de leur manque
de fidélité au Créateur et au Sauveur. En même temps, dans la même tradition
prophétique, elle ne pouvait pas manquer d’héberger une vision d'espoir pour le
tout.
Il y a de
l'espoir dans la plaidoirie de Marie en notre nom. Il y a l'espoir que son Fils
ne nous abandonnera pas, que la famine viendra à sa fin, que les parents ne
seront pas laissés dans le doute qui les poussait à se demander se ils auraient
du pain à donner à leurs enfants le lendemain.
Pourtant,
l'espoir ultime que Mary apporte n’est pas la promesse d'un avenir meilleur et de
récoltes fructueuses, mais d'une relation fidèle et fructueuse avec son Fils, lequel
n’est autre que le Seigneur ressuscité.
Cette relation
permet à la fois de supporter les difficultés et d’accepter la prospérité avec
humilité et sérénité. Le souhait de la Belle Dame, est que, lorsque nous nous
trouvons aux deux extrêmes, nous pouvons toujours trouver Jésus-là, au milieu,
entre les deux.
Traduction: Paul Dion
Felices Pascuas
Traduction: Paul Dion
Felices Pascuas
Un aviso general
Hoy no pongo en la lista las
lecturas porque entre las de la Vigilia
Pascual y las del Domingo de Pascua, hay muchas. La primera lectura dela
Vigilia es el relato de la creación. La última lectura del Domingo es el relato
de San Juan sobre el descubrimiento de la Tumba Vacía.
Padre Rene
Padre Rene:
Esto es un pensamiento
sólido. Con gusto compartiré... como es, con el mundo Salettino. He incluido Moisés en esta respuesta porque yo respeto sus
traducciones y quiero que sepa que me gustaría tener esta reflexión en español.
Puesto que recibe mis entradas en el blog, sabe lo que pienso. También pondré
esto en el boletín de la parroquia, a pesar de que, en su forma condensada y
evaporada.
Paul Dion
Cada cosa dentro
del todo
Entre tantas
narraciones encontramos el relato del Sacrificio de Isaac, el Paso por el Mar
Rojo, y las palabras de esperanza de Isaías, Baruch y Ezequiel, San Pablo, y
los Hechos de los Apóstoles. Lo que se intenta con tantas lecturas es la de dar
una mirada amplia y general sobre Dios y su trato con la humanidad que culmina
con la salvación que tiene su cumplimiento en la Resurrección de Cristo.
La Salette
encuadra completamente dentro de esa misma línea. La Salvación de su pueblo,
llevada a cabo por su Hijo, es lo más importante y está en el corazón mismo de
la Aparición de María, ya sea en un sentido literal porque ella lleva en su pecho,
cerca de su corazón la imagen de su Hijo crucificado y en un sentido figurativo
ese crucifijo yacía sobre su corazón (y lo apretaba) mientras ella hablaba.
Ella apareció en
un lugar de una belleza natural esplendorosa. Nos resuena el refrán del Génesis:
“Dios vio que todo era bueno”
En el libro del
Génesis también encontramos el ejemplo de la magnificente fe de Abraham. Pero
el pueblo de María, como los descendientes de Abraham no siempre han sido
fieles. Como los profetas, ella vio el sufrimiento de su pueblo con mirada
compasiva, pero no podía quedarse callada frente a su falta de fidelidad al
Creador y al Salvador. Al mismo tiempo, dentro de la misma tradición profética
ella siempre fue firme y nunca bajo sus brazos, manteniendo constantemente la esperanza.
De nuestra parte
la esperanza está puesta en las súplicas de María. Tenemos la esperanza de que
su hijo no nos abandone, que el hambre
se termine, que los padres de familia no tengan que seguir preguntándose si habrá pan para dar a sus hijos.
Todavía más, la
mayor esperanza que María nos trae no es la promesa de un futuro esplendido ni
cosechas generosas sino una fiel, plena y fructífera relación con su Hijo, que
no es otro que el Señor Resucitado.
Traducción: Moises Rueda
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