(Isaiah 42:1-7;
Acts 10:34-38;
Luke 3:15-22)
Fr. Rene Butler MS
The first Ecumenical Council, held in 325 AD, stated emphatically that Jesus was the Son of God, “God from God, Light from Light, true God from true God.” The Bishops gathered at that Council summed up in that way the teaching they had received from their predecessors, based in turn on the preaching of the Apostles and the whole New Testament.
They reflected on texts such as we find in today’s Gospel. The voice from heaven says, “You are my beloved Son; with you I am well pleased.” This is only one of many passages that indicate the intimate relation of Jesus with God his Father.
At La Salette Mary directs our attention to her beloved Son. Even before speaking a word, she shows him to us in the large, dazzlingly bright crucifix she wears on her breast, reminding us that we are loved: “For God so loved the world that he gave his only-begotten Son...”
Then the Beautiful Lady speaks of her Son . “I shall be forced to let go the arm of my Son… Those who drive the carts cannot swear without throwing in my Son’s name.” All together, “my Son” occurs six times in her discourse. The word “beloved” does not occur, but who could doubt it? (“My people” occurs three times. Again, “beloved” is not used, but who could doubt it?)
A striking difference between the Gospel scene and the Apparition, is that the Father is “well pleased” with his beloved Son, whereas Mary came to tell us that her Divine Son was not well pleased. She offered simple, very basic means of remedying that situation.
We read in the Acts of the Apostles: “God show no partiality. Rather, in every nation whoever fears him and acts uprightly is acceptable to him.” Acting uprightly is more than following a set of rules. It has to do especially with the heart, a heart that returns to God the love it has received from him. Mary at La Salette doesn’t insist on the commandments for their own sake but because they predispose us to a spirit of loving obedience to the God who loves us in spite of our sinfulness.
Yes, we are sinners, but that does not mean we are not beloved. Otherwise, why would Mary have come?
(Isaías 42:1-7;
Hechos 10:34-38;
Lucas 3:15-22)
Padre Rene Butler
El primer Concilio Ecuménico, realizado en el año 325 DC, afirmó enfáticamente que Jesús era el Hijo de Dios. “Dios de Dios, Luz de Luz, Dios verdadero de Dios verdadero” Los Obispos reunidos en ese Concilio resumieron de esa manera las enseñanzas que habían recibido de sus predecesores, quienes a su vez se basaron en la predicación de los Apóstoles y en todo el Nuevo Testamento.
Ellos reflexionaron sobre textos como aquellos que encontramos en el Evangelio de hoy. La voz del cielo que dice, “Tú eres mi Hijo amado; en quien me complazco.” Este es solo uno de los muchos pasajes que indican la intima relación de Jesús con Dios su Padre.
En La Salette María atrae nuestra atención hacia su amado Hijo. Aun antes de pronunciar una palabra, ella nos lo muestra en el gran crucifijo resplandeciente que lleva sobre su pecho, recordándonos que somos amados: “Porque tanto amó Dios al mundo que nos dio a su único Hijo muy querido…”
Luego la Bella Señora habla de su Hijo. “Me veré obligada a dejar caer el brazo de mi Hijo… Los que conducen las carretas no saben jurar sin poner en medio el nombre de mi Hijo” En conjunto, “mi Hijo” aparece seis veces en el discurso. La palabra “amado” no aparece, pero ¿Quién podría dudarlo? (“Mi pueblo aparece tres veces. Y de nuevo, “amado” no se usa, pero, ¿Quién podría dudarlo?)
Una diferencia chocante entre la escena del Evangelio y la Aparición, es que el Padre está “bien complacido” con su amado Hijo, en cambio María vino a decirnos que su Divino Hijo no estaba muy complacido. Ella nos dio simples y básicos medios para remediar esa situación.
Leemos en los Hechos de los Apóstoles: “Dios no es parcial. Ya que en toda nación quien le teme y actúa con justicia le es agradable”. Actuar con justicia es más que cumplir con una serie de normas. Tiene que ver especialmente con el corazón, un corazón que le devuelve a Dios el amor que ha recibido de él. María en La Salette no insiste en los mandamientos por si mismos sino porque ellos nos predisponen a un espíritu de obediencia amorosa al Dios que nos ama a pesar de nuestros pecados.
Yes, we are sinners, but that does not mean we are not beloved. Otherwise, why would Mary have come?
Sí, somos pecadores, pero eso no significa que no seamos amados, si no fuese así, ¿Qué sentido tendría la visita de María?
Traduccion: Hno Moises Rueda MS
(Esaïe 42: 1-7;
Actes 10: 34-38;
Luc 3: 15-22)
Père René Butler MS
Le premier concile œcuménique, tenu en 325 après JC, a déclaré avec insistance
"Je crois en un seul
Seigneur, Jésus Christ,
le Fils unique de Dieu, né
du Père avant tous les siècles :
Il est Dieu, né de Dieu,
lumière, née de la lumière,
vrai Dieu, né du vrai Dieu
Engendré non pas créé,
de même nature que le Père ;
et par lui tout a été
fait."
Je crois en un seul
Seigneur, Jésus Christ,
le Fils unique de Dieu, né
du Père avant tous les siècles :
Il est Dieu, né de Dieu,
lumière, née de la lumière,
vrai Dieu, né du vrai Dieu
Engendré non pas créé,
de même nature que le Père ;
et par lui tout a été
fait."
Les évêques réunis à ce Conseil résumèrent de cette façon l'enseignement qu'ils avaient reçu de leurs prédécesseurs, basé à son tour sur la prédication des Apôtres et de l'ensemble du Nouveau Testament.
Ils ont réfléchi sur des textes tels que nous les trouvons dans l’Évangile d'aujourd'hui. La voix du ciel dit: «Tu es mon Fils bien-aimé; avec toi je suis bien heureux." Ceci est seulement un des nombreux passages qui indiquent la relation intime de Jésus avec Dieu, son Père.
À La Salette Mary dirige notre attention vers son Fils bien-aimé. Même avant de dire un mot, elle dirige notre attention vers le grand crucifix éblouissant, lumineux, qu'elle porte sur sa poitrine, et qui nous rappelle que nous sommes aimés: "Car Dieu a tant aimé le monde qu'il lui a donné son Fils unique ..."
Ensuite, la Belle Dame parle de son Fils. «Je serai forcé de laisser aller le bras de mon Fils ... Ceux qui conduisent les charrettes ne peuvent pas jurer sans jeter le nom de mon fils au milieu." Dans l'ensemble, «mon fils» apparaît six fois dans son discours. Le mot «bien-aimé» ne se produit pas, mais qui pourrait en douter? («Mon peuple» se produit trois fois. Encore une fois, «bien-aimé» n'est pas énonce, mais qui pourrait en douter?)
Une différence frappante entre la scène évangélique et l'Apparition, est que le Père est "content" de son Fils bien-aimé, alors que Marie est venue nous dire que son divin Fils n'était pas content. Elle a offert des moyens simples, très simples, pour remédier cette situation.
Nous lisons dans les Actes des Apôtres: «Dieu ne montrent pas de partialité. Plutôt, dans chaque nation celui qui le craint et agit avec droiture est acceptable a Dieu. "Agir avec droiture" signifie plus que de suivre un ensemble les règles. C'est un comportement qui a à faire surtout avec le cœur, un cœur qui retourne à Dieu l'amour qu'il a reçu de lui. Marie à La Salette n'a pas insiste sur les commandements pour signaler leur propre intérêt, mais parce qu'ils nous prédisposent à un esprit d'obéissance à Dieu, qui nous aime en dépit de nos péchés.
Oui, nous sommes des pécheurs, mais cela ne signifie pas que nous ne sommes pas bien-aimée. Sinon, pourquoi est-ce que Marie serait venu à notre recherche?
Traduction: Paul Dion
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